S'exprimant à l'ouverture de cette session, à laquelle a pris part le ministre des Habous et des affaires islamique, M. Ahmed Taoufiq, le Secrétaire général du Conseil supérieur des ouléma, M. Mohamed Issef a relevé l'importance particulière de cette rencontre qui intervient dans le sillage de la mise en place des structures du Conseil à travers l'ensemble du Maroc dans le cadre d'un processus constant entamé depuis 2004.

La consolidation des structures du Conseil, conformément aux Hautes orientations royales, reflète l'importance du rôle des Ouléma en matière d'encadrement religieux et de transmission du message authentique de l'Islam, a-t-il indiqué, rappelant que l'attachement à l'unité doctrinale de la Oumma n'a d'égal que l'impératif de la préservation de l'unité nationale.

· Beaucoup de rumeurs autour des soubassements de ces enquêtes

La société Al Omrane Agadir a décroché tout récemment le label qualité ISO 9001 version 2008. Cette distinction lui a été attribuée par le cabinet Afaq Afnor International sur la base de l’accréditation du Cofrac (Comité français d’accréditation). Un certificat qui couronne 16 mois de travail et d’engagement de l’ensemble des ressources humaines de l’établissement.

· Le produit de la région d’Aït Baâmrane en voie d’être labellisé
· Une unité de conditionnement et de transformation en projet à Sidi Ifni
· Près de 150.000 ha de cactus à travers le Royaume

La région d’Agadir recèle plus d’une richesse végétale. Après l’arganier, c’est le cactus qui est au cœur des préoccupations du Conseil régional du Souss-Massa- Draâ. Le produit est en voie d’être labellisée. Pour l’heure, la filière fait l’objet d’une démarche de structuration. A terme, le cactus de la région d’Aït Baâmrane devrait décrocher une indication géographique protégée (IGP). L’objectif, bien sûr, est d’accompagner le développement économique et social de la zone.

La ville d'Agadir a abrité du 9 au 11 décembre la 8e édition du Salon international des fruits et légumes (SIFEL).

Cette édition a été inaugurée conjointement par Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime et par Ulf Dieter Klemm, ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne au Royaume du Maroc et a été couronnée par la signature de ladite convention de coopération bio. Ce salon, il faut le souligner, qui se dote, au fil des éditions, d'ampleur et de notoriété, constitue une plateforme pour l'échange et pour la quête d'issues encore plus prometteuses pour le développement de la filière des fruits et légumes à travers le révélation des nouvelles technologies en la matière et, également, via sa dotation d'un arsenal législatif colossal et de dispositifs juridiques jouissant de pertinence, cadrant, organisant et promouvant le secteur et veillant à la protection du consommateur.

Universitaires et experts du Maroc et de l'étranger se retrouvent, aujourd'hui et demain à Agadir, pour débattre des transformations migratoires marocaines et des différentes mutations engendrées par ce phénomène dans un contexte de globalisation.

"L'immigration n'est en définitive que l'image révélatrice des vraies questions posées par nos sociétés de plus en plus mondialisées. Depuis les années 1960, le Maroc est l'un des principaux foyers migratoires mondiaux et les Marocains constituent une communauté migratoire considérée parmi les plus importantes et les plus dispersées géographiquement", lit-on dans une présentation du colloque, initié par le département d'histoire de l'Université Ibn Zohr.