"Le pilotage pédagogique partagé, une politique au service de la réussite des élèves" est le thème d'une rencontre organisée jeudi à Agadir à l'initiative de l'Académie régionale de l'éducation et de la formation (AREF) de Souss-Massa-Draa.

Intervenant à cette occasion, le directeur de l'AREF de Souss-Massa-Draa, M. Moubarek Hanoun a indiqué que le pilotage pédagogique vise à maintenir et améliorer la qualité et l'efficacité du système éducatif, soulignant la nécessité de construire un pilotage pédagogique fondé sur le partage de manière à réussir la politique de décentralisation engagée.

· 800 millions de DH pour un nouvel hôtel dans le Souss et un autre à Marrakech

Le groupe Tikida poursuit son plan de développement sur la destination Agadir. L’entreprise investit de nouveau dans la construction d’un hôtel. “Ce sera un RIU Palace cinq étoiles. Celui-ci devrait être opérationnel en avril 2009”, indique Guy Marrache, PDG du groupe Tikida. L’établissement, qui sera doté de 388 chambres et d’une thalassothérapie, sera aménagé sur un terrain de cinq hectares dans le secteur balnéaire où était implanté l’ancien hôtel Oumnia. Réalisé en partenariat avec le groupe TUI, à hauteur de 35% pour ce dernier à travers la chaîne RIU et 65% pour les dirigeants de Tikida, à savoir Guy Marrache et Ahmed Benabbès Taarji, cet investissement est estimé à 400 millions de DH. Il devrait offrir à terme 400 emplois. En attendant, les travaux devraient commencer début mai. Selon le groupe, qui en est à son sixième investissement dans l’hôtellerie, ce n’est pas le seul projet qui est sur le point de démarrer.

L’entreprise s’apprête à investir également 400 millions de DH dans la Palmeraie de Marrakech pour l’aménagement sur 12 ha d’un hôtel club quatre étoiles de 400 chambres qui générera 300 emplois. L’unité devrait être également finalisée en avril 2009. Pour RIU, partenaire du projet à hauteur de 33% -les 67% restants sont détenus par les dirigeants du groupe Tikida-, c’est le premier hôtel à travers le monde de la chaîne qui ne sera pas en front de mer.

· Une superficie de plus de 500 ha mobilisable dans l’immédiat
· Près de 1.900 ha identifiés pour l’aménagement de nouvelles villes

Le Souss ne manquera pas de foncier dans les années à venir. La ville d’Agadir notamment dispose encore de terrains pour s’étendre. C’est ce qu’a indiqué lors d’une rencontre avec des acteurs locaux le tout nouveau directeur de l’Agence urbaine d’Agadir (AUA) Abdelaziz Belkeziz. Selon lui, plusieurs zones couvertes par des plans d’aménagement sont ouvertes à l’urbanisation dans le champ d’action de l’Agence urbaine d’Agadir. La superficie totale de ces sites est estimée pour le moment à 2.400 ha dans six centres urbains. Il s’agit dans le détail de 890 ha dans la préfecture d’Agadir Ida Outannane, 416 ha à Biougra dans la province de Chtouka Aït Baha, de 147 ha à Aït Amira, de 360 ha à Sidi Ifni, de 338 ha à Mirleft et 268 ha à Ait Azza (Taroudant). «Dans l’immédiat plus de 500 ha sont mobilisables à travers les six localités précitées», précise le directeur de AUA.

· Les grandes marques du prêt-à-porter en vente chez les fripiers
· Les lieux attirent toutes les classes sociales

Zara, Mango… Contrairement à ce que l’on peut penser, on n’est pas dans le quartier huppé du Triangle d’or à Casablanca, ni même dans une rue commerciale à l’étranger. Il s’agit en fait de la friperie du souk de la ville d’Agadir, plus communément appelé par tous «Joutéya», ou encore «balle». Là, on trouve des vêtements en tout genre, de toutes marques et à des prix défiant toute concurrence. L’endroit attire une clientèle issue de toutes les classes sociales. En effet, longtemps réservé aux petites bourses, la friperie est fréquentée aujourd’hui par tout le monde, non seulement à cause de la cherté de la vie mais aussi pour les opportunités qu’elle offre. Même les étrangers et les visiteurs de la ville s’y rendent aux côtés des Gadiris pour fouiller et fouiner sans complexe dans des montagnes de vêtements ou de chaussures. «Une fois lavés et repassés ces articles deviennent neufs, pourquoi s’en priver?», lance une habituée de la friperie.

Cette année, on consacre la 4ème édition de la réforme éducative à la situation des chefs des établissements scolaires. C'est une bonne chose car on a toujours ignoré cette composante essentielle du système de l'enseignement.

A Agadir, on réunit , samedi dernier, cette constituante de tous les cycles et également ses homologues d'autres catégories, ainsi que les partemaires du secteur. La séance matinale de cet important rassemblement a été consacrée au discours national, à l'exposé régional et le débat autour de ces interventions que le directeur de l'académie a su gérer d'une grande doigté. Les travaux des ateliers ont été entamés l'après midi , suivis des lectures des rapports et des allocutions de clôture.