Née seulement en juin 2006 dans le cadre des universités populaires d'Agadir et voilà que, en moins d'une année d'existence, elle organise déjà son deuxième colloque en sus de plusieurs manifestations.

Il s'agit de l'association «Al Maarifa des universités populaires d'Agadir» constituée de jeunes membres et moins jeunes dont le dénominateur commun est le souci de conjuguer le verbe «apprendre» sous ses deux formes transitive et intransitive.
Ce 12 mai, au sein de la commune rurale de Aït Amira, province de Chtouka Aït Baha, l'association a organisé son colloque autour du thème : «Le patrimoine culturel entre l'enracinement de l'identité et les défis de la mondialisation» et ce selon un programme riche et varié.

Nous avons appris avec stupéfaction que la rentrée universitaire prévue pour l'année académique 2007/2008 à la future faculté multi-disciplinaires n'aurait pas lieu pour des raisons encore obscures.

En effet, la ville saadienne n'a ni cité, ni restaurant, ni bibliothèque universitaires pour accueillir des milliers d'étudiants qui afflueraient de toutes parts.

L'Ecole du cirque de Salé a en chanté vendredi dernier la communauté d'Agadir. L'Istitut Français auquel revient le mérite de convier cette remarquable prestation dans nos murs a donc prôné , d'une part , la diversité culturelle et artistique et , d'autre part , favoriser l'appui aux enfants exclus.

C'est donc une belle initiative qui permet à la ville de vivre des moments exquis devant ces prodiges du cirque, inspirés de celui de Rio De Janeiro. Il va sans dire que cet événement qui marque de ses empreintes le paysage culturel d'Agadir a laissé des impressions profondes chez les enfants, surtout ceux qui ont bénéficié des revenus de cette manifestation , en l'occurrence de l'association ANIR des enfants abandonnés.

Pour sa quatrième édition, le Festival Timitar proposera, du 4 au 7 juillet, un répertoire traditionnel et contemporain issu de tous les continents. Musiques du monde, tradition et nouvelle scène au menu :

Cette année, Agadir mettra en valeur des artistes issus de l’immigration amazighe et plus largement maghrébine dont les influences se sont nourries, au fil des ans, des répertoires occidentaux, y associant la richesse de leurs racines.

Forts de leur métissage, les artistes issus de l’immigration amazighe illumineront le Festival. Seront présents Idbassaïd venu de France, Aza des Etats-Unis et Khalid Izri de Belgique.

La scène musicale maghrébine sera, quant à elle, représentée par de nombreux artistes qui compteront entre autres Les Boukakes, Djamel Laroussi, Djur Djura ou encore Chebba Zahwania, la reine du raï.

Située à quelques kilomètres de la capitale du Souss, la région d’Immouzer est l’un des espaces à grande attractivité touristique.

Nichés au pied du Haut Atlas et à plus de 1250 mètres d’altitude, Immouzer laisse entrevoir la beauté de son paysage et sa diversité. Collines arides, vallées verdoyantes, gorges et plateaux font oublier la fatigue de la route et laisse le visiteur émerveillé devant tant de beauté. Les petites maisons d’Immouzer dominant une féerique palmeraie se situant à 4 mètres d’une cascade appelée «Le voile de la mariée». Cette cascade ne livre son charme que lors de la période des pluies. Le tout témoigne de la richesse d’une population amazighe qui a su faire de l’agriculture son moyen de survie dans un milieu difficile.