Le premier Festival du court-métrage marocain de Rabat (20-23 octobre) s'est ouvert mercredi soir au Théâtre national Mohammed V.

Vingt quatre films sont en compétition officielle de ce festival placé sous le signe "Réconciliation du public avec les salles obscures".

La 5-ème édition du Festival international d'art culinaire aura lieu du 29 au 31 octobre courant à Fès, sous le signe "Les traditions culinaires de fête dans les trois religions monothéistes".

Les plus grands chefs cuisiniers et spécialistes d'art culinaire nationaux et internationaux feront le déplacement dans la capitale spirituelle du Royaume pour animer cette manifestation, initiée par la Fondation "Esprit de Fès".

Le Maroc est classé deuxième en terme de meilleurs lieux de tournage de par le monde, a indiqué mardi à Rabat le directeur général du Centre Cinématographique Marocain (CCM), Nour-Eddine Sail.

Citant un classement publié récemment par le magazine spécialisé en cinéma "Variety", M. Sail a indiqué que plus de 15 longs-métrages et 60 courts-métrages sont produits chaque année au Maroc.

Près de 30.000 titres, la plupart en français, en arabe et en Amazigh, sont proposés aux visiteurs lors de ce salon organisé par la direction régionale de la culture avec l'appui de la Direction du Livre, des Bibliothèques et des Archives, et en collaboration avec la wilaya de la région et les conseil régional et municipal.

Tenue à la place Hassan II, cette manifestation culturelle qui se poursuivra jusqu'au 23 octobre, connaît la participation de 09 maisons d'édition nationales, outre les facultés de Lettre d'Agadir (université Ibn Zohr) et de Rabat (université Mohammed V Suissi), l'Institut Royal de la culture Amazigh, le Haut commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération et des bibliothèques privées.

La promotion de la culture amazighe nécessite la conjugaison des efforts de l'ensemble des acteurs, institutions, individus et collectivités, a affirmé M. Boukous lors d'une conférence de presse organisée à l'occasion de la célébration du 9è anniversaire du discours royal d'Ajdir et de la création de l'IRCAM, notant que l'intégration de l'amazighe au sein des politiques publiques, notamment celles de l'enseignement, constitue un acquis très important pour le Royaume.

Le Recteur de l'IRCAM s'est félicité, à cet égard, de l'intégration de la culture amazighe au projet sociétal national et aux politiques publiques nationales, relevant que 10 pc des élèves du primaire reçoivent des cours de langue amazighe dans près de 4.000 classes, dispensés par plus de 1.200 enseignants.