Aujourd'hui, la question alimentaire revient sur le devant de l'actualité internationale dans un contexte dominé à la fois par la flambée des prix des produits alimentaires, la diminution des énergies fossiles et l'impact du changement climatique qui, selon une étude des Nations unies, va entraîner dès 2010 quelque 50 millions de réfugiés environnementaux.

Dans ces conditions, la pression qui s'exercera sur l'agriculture pour qu'elle puisse répondre aux besoins croissants et diversifiés de la population mondiale fait appel à des solutions novatrices. « Toute réflexion sur le développement agricole de demain doit prendre en considération trois principaux éléments: sécurité alimentaire, crise d'énergie et changement climatique», indique Mohamed Behnassi, enseignant-chercheur en politiques mondiales de durabilité et directeur du Centre Nord-Sud de recherches en sciences sociales (NRCS), qui organise du 12 au 14 novembre 2009 à Agadir un congrès international sur le thème «Développement agricole et rural durable dans le contexte du changement climatique, de la crise énergétique et de l'insécurité alime taire». Cette rencontre scientifique organisée conjointement par la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d'Agadir et le NRCS, en partenariat avec l'Ecole supérieure de technologie de l'Université Ibn Zohr, est le fruit d'une réflexion collective. Elle vise la mise en relation non seulement de chercheurs issus des multiples champs disciplinaires concernés, mais aussi d'acteurs responsables des stratégies, politiques et programmes aux différents niveaux (responsables institutionnels, professionnels, représentants de la société civile, etc.) et provenant de différents pays.

Dans la perspective de faire de la ville d'Agadir et sa région une destination privilégiée et à l'occasion de la journée mondiale du tourisme, le Centre régional du tourisme (CRT) de la région de Souss Massa Draâ a récemment organisé le carnaval d'Agadir.

Cette manifestation grandiose ayant connu la participation de 600 artistes et impliquant tous les acteurs du tourisme, a, à la fois, pour vocation la célébration d'un événement, l'animation d'une cité et la création d'une tradition touristique.

Quand on est étranger a-t-on le droit de dire quoique se soit ? Nous n’avons aucun droit ? Même si nous payons nos impôts ? Vraiment je ne sais pas par ou commencer, bon par le début

Un jour en me baladant par Agadir, hors des rues préfabriqué pour le tourisme, c'est-à-dire par les rues qui sont même pas à 200 mètre du très fameux boulevard Hassan II, je commence déjà à trouver des inconvénients pour marcher, trottoirs presque inexistant, des trous partout, c’est peut-être pour cela que je ne voie presque aucun aveugle dans les rues ?

· Les 400.000 DH sont insuffisants
· Le CR doit accompagner l’élan touristique de la ville

Les professionnels du tourisme à Ouarzazate ne tempèrent pas leur grogne contre le Conseil régional du Souss Massa Drâa (SMD). Et pour cause, l’enveloppe financière dédiée, en fin de semaine dernière, à leur Conseil provincial de tourisme (CPT) s’avère, selon eux, «très insuffisante». Elle ne serait pas à la hauteur de leurs aspirations, ni ne pourrait accompagner les plans d’actions que le CPT d’Ouarzazate compte mettre en œuvre dans le cadre de sa stratégie.

L'Institut français d'Agadir rend également un hommage posthume à Mahmoud Darwich lors d'une soirée qui sera organisée le 09 octobre prochain.

Sont programmées lors de cette soirée des lectures d'extraits de la poésie de Mahmoud Darwich par l'écrivain Abdellah Zrika en arabe et l'écrivaine, traductrice et spécialiste du théâtre Zohra Makach en français.