Réunion du conseil préfectoral au terme de sa session ordinaire du mois de mai

Le conseil préfectoral d'Agadir Idaoutanane s'est réuni, le 21 mai de l'année en cours, au terme de sa session ordinaire du mois de mai, pour débattre autour de la validation des modifications portant sur la programmation des engagements au budget de la province au terme de l'année 2009, la promulgation du transfert des engagements au budget de la province et celle du transfert des engagements au budget annexe de la même année.

Les réunis se sont, ainsi, penchés sur l'étude de la demande d'occupation à titre précaire, par la société "Paradis d'Agadir", d'une parcelle de lot au jardin de la vallée des oiseaux, l'étude et la concertation du cahier des charges relatif au café du jardin de la vallée des oiseaux et l'étude de la demande du président de la commune urbaine d'Agadir, portant sur la création des kiosques à l'accès du jardin.

· Près de 50 millions de DH investis pour la généralisation du réseau et son renforcement
· 28.000 points lumineux contre 16.000 il y a six ans

«Pourquoi dépenser plus quand on peut faire avec moins!». La position de Tariq Kabbage, président de la commune urbaine d’Agadir, est claire quant à la gestion du service public, notamment celle de l’éclairage. L’élu appuie ses arguments dans ce contexte par des chiffres.

Le gouvernement gère le dossier de la grève d'agriculteurs dans la région d'Agadir avec "ouverture et respect", a affirmé, jeudi à Rabat, le ministre de la communication, porte-parole du Gouvernement, Khalid Naciri.

"Sur le fond, il va falloir écouter dans les détails la pertinence de leurs revendications, sachant que le Gouvernement a toujours traité les revendications dans l'esprit d'en rechercher les solutions", a indiqué M. Naciri lors d'un point de presse à l'issue du Conseil de Gouvernement.

Le collectif d’associations professionnelles de production et exportation de fruits et légumes vient de boucler une série d’actions à mener en réaction au manque de visibilité et au mutisme du gouvernement, dont particulièrement la primature et le ministère de l’Agriculture. Les professionnels regrettent qu’un secteur aussi vital de l’économie soit laissé-pour-compte.

La réunion tenue mardi par le collectif d’associations professionnelles, qui a encore une fois confirmé à tous les membres la non implication des autorités locales et gouvernementales face au problème qui a pris en otage la filière de production et d’exportations de fruits et légumes de la région du Souss, a été consacré à l’élaboration d’une série de mesures à engager par les opérateurs, souligne Esserghini, directeur de l’Association des producteurs et exportateurs de fruits et légumes. Une commission a été désignée à cet effet pour étudier l’impact de chaque action sur le secteur.

Où va l’immobilier à Agadir ? Question que tout le monde soulève devant cette flambée astronomique des coûts qui flambent de plus en plus, et à une cadence effroyable. Des opérations de logement qui, il y a moins d’une décennie, sont mises en vente à des prix abordables sentent le brûlé ces trois dernières années, où la spéculation est souveraine, au sein même des nouveaux promoteurs.

Dès lors, les lots et les domiciles se vendaient non pas aux locaux de l’administration en question mais partout dans les cafés des «semsara», connus pour ce commerce illicite. Tous ces lieux sont dotés désormais des plans de masse qui sont disponibles aux plus offrants.