La surcharge pondérale augmente les risques de développer plusieurs types de cancer, selon les conclusions d'une revue d'études publiée samedi par l'hebdomadaire médical britannique, The Lancet.

Ces résultats viennent corroborer une étude publiée en octobre dernier par le World Cancer Research Fund International qui concluait que "le maintien d'un poids optimal tout au long de la vie pourrait être l'un des principaux moyens de se protéger du cancer".

L'Agence du médicament a tenu à rappeler mardi que, contrairement à ce qu'affirme une étude récente, le risque de cancer du sein augmente chez les femmes recevant un traitement hormonal de la ménopause (THM).

Cette mise au point intervient après la publication le mois dernier d'une étude réalisée par des gynécologues médicaux, assurant que les femmes ne courent pas de risque particulier de souffrir d'un cancer du sein si elles ont pris un THS dès le début de leur ménopause.

Le ministère de la Santé a mis en place un plan d'action visant à réduire à 50 pour 100.000 le taux de mortalité chez la femme enceinte, a indiqué, vendredi à Casablanca, Mme Yasmina Badou, ministre de la Santé, à l'ouverture du 26ème congrès national de la Société Royale Marocaine de Gynécologie Obstétrique (SRMGO), placé sous le Haut patronage de SM le Roi.

Cette nouvelle stratégie, qui s'inscrit dans le cadre des réformes entreprises conformément aux Hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI, vise à assurer l'équité au niveau de l'offre de la santé entre les différentes régions urbaines et rurales et à renforcer la moralisation du secteur de la santé, a précisé Mme Badou.

Des chercheurs japonais ont établi que les gens utilisant régulièrement un téléphone portable ne couraient pas de risque de souffrir d'une tumeur cérébrale, selon une étude publiée en ligne par le British Journal of Cancer.

La norme choisie, pour définir l'usage régulier du téléphone, a été d'au moins une fois par semaine pendant six mois.

Si vous attendez un enfant et mangez comme quatre, il y a de fortes chances pour que vous accouchiez d'un garçon ! C'est en effet ce qu'a conclu le professeur Trichopoulos de Boston, après avoir étudié plus de 240 femmes enceintes.

Celles qui attendaient un garçon ont consommé 10% de calories de plus que celles qui devaient donner naissance à une fille : elles ont mangé 8% de protéines, 9% d'hydrates de carbone (pâtes, pain), 11% de produits laitiers, 15% de graisses végétales en plus.