L'Institut français d'Agadir prévoit pour la manifestation "Les Nuits du Ramadan" une programmation musicale riche et diversifiée allant des classiques arabes et amazighs en passant par le Jazz et les rythmes de l'île de la Réunion.

Le public de la ville d'Agadir sera au rendez-vous, le 4 septembre prochain, avec le guitariste français Thibault Cauvin et le luthiste marocain Jamal Chafai pour un métissage entre Jazz, musiques orientales et blues.

Selon les derniers chiffres du conseil régional du tourisme d’Agadir et de la région Souss-massa, quelque 84 808 touristes ont visité la perle du sud en juillet, contre 79 808 durant la même période de l'année dernière, soit une hausse de 6,44%.

Dans le détail, les Marocains arrivent en tête avec 33 771 touristes, contre 24 054 en juillet de l'année 2008, soit une hausse de 40,40%. Ils sont suivis des Français avec 18 607 touristes, contre 21 781 en juillet de l'année dernière, en baisse de 14,57%.

· Un investissement de 30 millions de DH
· Trois marques de voitures y seront commercialisées

La maison Toyota du Maroc, société du groupe Abdullatif Jameel, investit dans un nouveau show-room pour automobiles dans le chef-lieu du Souss. La structure sera inaugurée le 25 septembre prochain.

· Hausse de près de 2,58% des nuitées en juillet

La capitale du Souss tend à se vider ces derniers jours de ses visiteurs. L’approche du mois de Ramadan a écourté les vacances pour beaucoup de touristes. Mais on peut d’ores et déjà dire que les hôteliers ont réalisé une bonne saison estivale.

En juillet dernier, selon les chiffres communiqués par le Conseil régional du tourisme du Souss Massa Draâ, la station balnéaire a enregistré une augmentation de 6,44% en arrivées et de 2,58% en nuitées comparativement à la même période l’an dernier. Le marché national est en grande partie à l’origine de ces performances.

Le Musée municipal du patrimoine amazigh d’Agadir abrite du 2 au 26 septembre 2009 les œuvres récentes de l’artiste plasticien et chercheur aguerri Khalid Bayi qui focalise sa démarche plastique plurielle sur les signes visuels de la calligraphie arabe, sa beauté intrinsèque et ses paradigmes esthétiques infinis. Il cherche à forger un nouveau langage pictural qui exploite les lettres comme signes fragmentés selon une composition éclairée dotée d’un mouvement rythmique interne.

Son souci esthétique est de donner à la lettre arabe une liberté et une gestuelle chargée d’un symbolisme afférent au culte de la lumière fugace au sens spirituel du terme. Chantre de lettre - signe, Khalid Bayi part des textes fragmentés des illuminés comme archétype et corpus idéographiques pour explorer toutes les formes expressives liées à l’art du trait et à la symbolique de la polygraphie arabe.